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Un million pour les ressources d'aide aux victimes d'agression sexuelle : le RQCALACS salue l'initiative
19 octobre 2017
Le Regroupement québécois des centres d'aide et de lutte contre les agressions à caractère sexuel (RQCALACS) accueille favorablement l’initiative des ministres David et Charlebois d’octroyer 1M$ en fonds d’urgence pour répondre aux demandes supplémentaires qu'occasionne le mouvement #Moiaussi. Bien que ces montants soient nettement insuffisants – le sous-financement chronique des organismes d’action communautaire autonome reste en effet un problème bien connu –, nous saluons le fait que le gouvernement se soit montré sensible aux impacts de l’actualité sur les survivants-es d’agression à caractère sexuel en agissant rapidement.
Notons, par ailleurs, que la solution à cette vague de dénonciations ne réside pas uniquement dans l’augmentation des services offerts aux victimes, mais aussi et surtout, dans la prévention et la sensibilisation en bas âge. Pour être en mesure de remplir adéquatement leur mission globale, les ressources de type CALACS auraient besoin d’une augmentation de leur financement annuel récurent : en 2015, nous avons chiffré le manque à gagner de ces organismes à 5M$ annuellement.
À toutes les survivantes ébranlées par les évènements, sachez que dans les CALACS, #OnVousCroit!
Ligne d'écoute 24/7 : 1 888 933-9007
Actualités RQCALACS
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Avec l'équipe de travail, la personne aura pour mandat de voir à l’avancement des problématiques entourant les agressions à caractère sexuel, en collaboration avec des organismes partenaires et auprès des instances politiques concernées.
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Avec l'équipe de travail, la personne aura pour mandat de voir à l’avancement des problématiques entourant les agressions à caractère sexuel, en collaboration avec des organismes partenaires et auprès des instances politiques concernées.
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Cette décision de la plus haute instance judiciaire du pays vient faire table rase à des acquis en matière de droits des femmes qui découlent d’années de travail de plaidoirie et de sensibilisation, et nous ne pouvons qu’exprimer notre indignation face à cette menace directe aux droits des femmes, aux droits des victimes d’actes criminels et au mouvement féministe québécois et canadien.
